Deux percements seulement en toiture pour limiter les ponts thermiques et les problèmes d’étanchéité :
cette sortie de ventilation et une cheminée.
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La volige en plafond de garage, choix esthétique, vu qu’il ne sera pas isolé. Par contre, cela ne facilite pas le travail de l’étancheur par la suite.
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On voit ici le frein vapeur du complexe isolant de toiture, avec le raccord autour de la sortie de ventilation. Le frein vapeur tient l’isolant en ouate et permet à la vapeur d’eau de passer mais pas à l’air.
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Début de la pose du bardage mélèze en façade. On voit à l’intérieur les sacs de ouate de cellulose qui seront soufflés en toiture et en plancher.
La pose de la toiture est pratiquement terminée:
On voit ici les dalles d’OSB qui supporteront l’étanchéité qui remontera le long des acrotères.
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La maison commence à prendre forme, mais elle sera moins « haute » au final avec la terrasse au sud.
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On voit ici la poutre lamellé-collé permettant d’avoir la largeur du séjour sans poteau. Cette poutre restera apparente.
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On voit ici les deux épaisseurs croisées du plafond permettant le remplissage en ouate de cellulose sans pont thermique.
La dalle bois est maintenant fermée avec de l’OSB. Voir le billet précédent sur le solivage à propos de l’OSB. Il assure ici le contreventement de la dalle en plus de sa fermeture.
Une alternative que nous avions essayée sur un autre chantier était de contreventer la dalle avec des feuillards métalliques et de la fermer avec de la volige, toujours dans le but de privilégier le travail par rapport à l’industrialisation des matériaux et de réduire le produits contenant des substances pouvant être nocives. Nous n’avons pas opté pour cette solution ici surtout à cause de la déformation que subissent les voliges durant le chantier (notamment à cause des intempéries avant mise hors d’eau) qui complique la pose de la chape du plancher chauffant.
On voit ici le solivage de la dalle bois en grande partie réalisé.
Les porteuses et le solivage sont en douglas.
L’isolant (ouate) sera insufflé entre les solives une fois la maison couverte.
Le fond de dalle est réalisé en OSB, pour des raisons de résistance à l’humidité (bien que le vide d’air soit ventilé), et de facilité de pose (possibilité de marcher dessus pendant le chantier). Le fait que l’OSB ne soit pas respirant n’est pas un problème ici, le sol devant recevoir du carrelage qui ne l’est pas non plus. Le taux d’émission de formaldéhydes des OSB est aujourd’hui assez faible pour pouvoir l’utiliser quand d’autres solutions ne sont pas possibles.
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